Hier on a regardé recherche Susan désespérement
J’avais mis ce chef d’œuvre dans ma liste de netflix pour quand Pluchman n’est pas la, mais netflix a un peu merde et au lieu de l’avoir jeudi dernier, quand j’en avais besoin, on l’a reçu hier soir.
Quand Pluchman n’est pas à la maison je regarde des films de merde pour filles qui font pas peur. Sinon, si ça fait peur (même un peu peur, même un tout petit peu genre Mission impossible 3) je dors pas de la nuit ou alors très mal.
Et pareil si c’est trop triste (voir juste un peu triste).
Attention hein je me cherche pas d’excuses pour regarder des films de merde pour filles qui font pas peur, j’aime BIEN les films de merde.
Bref, donc le navet est arrivé en retard parce que dans mon distributeur netflix proche de chez moi ils ne l’avaient pas, ils ont été obligés de le faire venir de Floride c’est pour ça que ça a pris du temps. En Floride ils ont des goûts de chiottes parce que le soleil leur crame les neurones et leur bout le cervelet, alors après ils sont tous vieux et fripés, et décolorés et ils ont des goûts de merde en cinéma. C’est prouvé.
Bref bis, on a donc regardé cette chose et c’était soupaire.
C’est l’histoire de Roberta, dans les années 80 on n’avait pas peur des prénoms moches.
Donc Roberta, une bourgeoise blonde et étriquée, disparaît en se cognant la tête contre un lampadaire. En gros.
Sa famille est inquiète évidement, son mari se baffre dans la cuisine sous la pauvre excuse de le stress et l’inquiétude, et sa sœur lui balance la meilleure réplique du film (voir de l’histoire du cinoche)
« tu peux pas prendre un Valium, comme les gens normaux »